Google

jeudi 27 mars 2008

L’affaire Boulos amorce le débat sur la double nationalité

Le premier ministre Jacques Edouard Alexis, le président du sénat, Kelly Bastien, l’instigateur de l’enquête sur la nationalité de Boulos, Gabriel Fortuné et de nombreux élus réclament un débat sur la double nationalité.
Le premier ministre Alexis qui dit attendre le rapport de la commission sénatoriale sur la nationalité rappelle que le chef de l’état avait proposé une reforme de la constitution dans le but de favoriser la double nationalité. Tout en faisant remarquer que le gouvernement entend respecter les prescrits constitutionnels, M. Alexis soutient que les haïtiens de la diaspora devraient pouvoir jouir de tous leurs droits.
Cet avis est partagé par le président du sénat, Kelly Bastien, affirmant qu’il faut lancer le débat sur la nationalité avant de réaliser une réforme de la constitution.
Selon lui, il faut tenir compte des haïtiens de la diaspora et des nombreux compatriotes ayant pris naissance sur le sol américain notamment. " Il y a des obstacles dans la constitution, il faut une réforme pour que l’état puisse répondre efficacement à sa mission de servir les citoyens.
Pendant ce temps, plusieurs parlementaires se déclare contre l’exclusion du sénateur Boulos.
Le député de Miragoane, Frantz Robert Mondé (Fusion) annonce son refus de remplir le formulaire sur la nationalité, estimant que cette enquête ne s’inscrit pas dans le cadre de la compétence de la chambre basse." Le sénateur qu’on a exclu a donné plus de travail que ceux qui l’ont persécuté qui sont des sangsues", lance le député Mondé faisant allusion à la destitution du sénateur Rudolph Boulos.
La senatrice du Plateau Central, Edmonde Suplice Beauzile (Fusion) qualifie d’illégale et d’inconstitutionnel l’exclusion des sénateurs Boulos et Compère. Tout en indiquant que le système démocratique est mis à mal, Mme Beauzile s’interroge sur l’inaction du ministère de l’intérieur qui s’est contenté de transmettre les dossiers au sénat." Boulos et Compère restent et demeurent des sénateurs ", déclare Mme Beauzile regrettant que ces derniers soient obligés de se mettre a couvert.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=13614
Un petit mot:
Ce qui ne se dit jamais sur la question de la double nationalité c’est que le fait de posséder un passeport américain représente une immunité pour tout fonctionnaire qui viendrait faire n’importe quoi dans l’administration du pays.
Dans le cadre de l’acceptation de la double nationalité il faudra qu’un arrangement soit signé entre Haïti et l’autre pays responsable de la seconde nationalité stipulant qu’en cas de conflit le gouvernement haïtien peut utiliser son droit de traduire le double national en question en Haïti..etc…
Andrice Riché, nouveau vice président du sénat Le sénateur Andrice Riché (OPL), a été élu vice président du sénat hier mercredi en remplacement de Rudolph Boulos, démissionnaire selon le président du sénat. Andrice Riché a obtenu 12 votes favorables contre 5 à Semephise Gilles (Lespwa).
Une élection déroulée dans une ambiance particulière, le sénateur Rudolph Joasil ayant refusé de voter pour protester contre le sort réservé à son collègue du Nord Est.
Le sénateur Riché, qui avait été battu par Boulos lors des dernières élections à la vice présidence du grand corps, soutient qu’il a été élu à la faveur de circonstances objectives.
Dans ses premières déclarations, le sénateur de la grand anse a dit vouloir œuvrer afin d’améliorer les conditions de travail des fonctionnaires du sénat.
Tout en soulignant que le sénateur Riché a la compétence pour occuper cette haute fonction, le sénateur Rudy Herivaux ( Lavalas) souligne que ces élections ont été réalisées dans des circonstances douloureuses. " Le sénat doit continuer à fonctionner, il faut éviter une crise afin que le grand corps puisse voter les accords internationaux et des projets de loi", ajoute t-il.
Le président du sénat, Kelly Bastien, assure que le sénateur Riché a la compétence nécessaire pour assumer la fonction de vice président du sénat.
Le président du sénat entend continuer à œuvrer dans la transparence afin de faciliter le travail des élus dans le respect de la constitution.
D’un autre coté, Rudolph Boulos nie avoir bénéficié de l’aide de l’ambassade dominicaine pour laisser le pays, le 18 mars dernier. Dans une interview au journal dominicain, El Caribe, M. Boulos soutient avoir regagné la république dominicaine par la route afin d’échapper à un complot visant son assassinat. De plus, il dénonce un plan du chef de l’état, René Préval, visant à dissoudre le parlement.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=13612
Dizon pa-m:
Apre bel demonstrasyon nan bon ti mami-t ke depite nou yo sot bay nan zafè entepelasyon premye minis jak edwa aleksi a gen anpil moun kap mande ki sa chanm depite a sèvi jounen jodi-a. Ayisyen pa fouti sèmanté sèt fwa swasanndisèt fwa sèt fwa ke paleman vreman ap jwe wol li nan mod demokrasi pèpè sila-a ki twop pou nou ke kominote entènasyonal la taye pou ploye nou ladan-l.
Wi. Se vré. Minis ak direktè general yo pa vle tobe nan foure men pran paske depite yo ka mande yo de ki prevyen a nenpot ki lè. Se paske fonksyonè nou yo toujou abityé gen menm abitid ak makou chat ki fè ke pou siveye dwet long selman nou oblije bat bravo pou you chanm depite ki ta dwe la pou zafè fè lwa ki pou pèmèt sosyete a vanse.
Mezanmi nou pa bezwen moun voye di nou. Zafè kraze palman se pa ekzekitif la kap fè sa. Lè komisyon nan chanm depite yo fin menen envestigasyon si yo remake ke gen anpil dpeite ki gen lot nasyonalité, si chanm lan vi-n kadik paske ta manke korom, pinga yo vi-n bay ekzekitif la chay pote.
Se pa ekzekitif la ki te di neg kigen doub nasyonalite ale fè drib sou komisyon ki te gen pou siveye pou yo pat pase, si neg yo te konprann ke yo te kapab fe fan-t jan-m sou konstitisyon peyi -a pou yo vi-n jwi tankou depite alos ke yo pat gen dwa se nomal pou yo kraze palman pou yo refè eleksyon yo.
Gwo pwoblè-m lan se konnen kisa zot ki te foure men nan poch pou te mete demokrasi gratis ti cheri andedan peyi ya kisa neg blan sa yo ap di.
You palman paka gen tout voksal ak gagot sa yo ladan ni. Si se sa selman ke nou ka bay e ke nou ka montre sa vle di ke nou poko janmen rive nan nivo demokrasi -a...

La police confirme l’opération anti-drogue de Pestel

Le directeur central de la police judiciaire (DCPJ), Frantz Thermilus a confirmé la participation de policiers haïtiens dans l’opération anti-drogue réalisée le 25 mars dans la commune de Pestel.
Tout en refusant d’indiquer si l’ancien candidat à la présidence, Guy Philippe, était la personne recherchée, le chef de la DCPJ a fait savoir que l’opération a été conduite par les policiers de la Drug Enforcement Administration (DEA).
Le chef de la DCPJ a assuré qu’il n’y a eu aucune arrestation lors de cette opération dans la ville natale de Guy Philippe.
Selon M. Thermilus, la Brigade de Lutte contre le Trafic des Stupéfiants était aussi impliquée dans l’opération. Par stratégie l’officier n’a pas voulu révéler l’objectif de ses recherches mais a fait comprendre que plusieurs trafiquants de drogue sont recherchés par la DEA et la BLTS.
Interrogé sur les brutalités policières enregistrées lors de l’opération de Pestel, le chef de la DCPJ a récusé ces charges. " Il n’y a pas eu d’exactions ni de violences physiques contre les citoyens ", a martelé M. Thermilus qui a confirmé que des maisons ont été perquisitionnées.
Les autorités policières refusent de préciser si le chef de file du Front pour la Reconstruction Nationale (FRN) a réussi à échapper une nouvelle fois aux mailles du filet de la DEA et de la BLTS. " Il y a des choses qu’on ne peut pas révéler sinon on détruit l’enquête ", insiste M. Thermilus.
Une première opération réalisée le 17 juillet 2007, par des agents de la Brigade de Lutte contre les Stupéfiants (BLTS) et de la Drug Enforcement Administration (DEA) dans le quartier de Bergeo (Cayes) s'était soldée par un échec.
L’ancien chef des insurgés ayant contraint Aristide à la démission, accusé d’implication dans le trafic de drogue, était l’objet des recherches des membres d’un important commando arrivés sur place à bord de 5 hélicoptères.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=13613
L’affaire Boulos passionne les juristes haïtiens La démission puis l’annonce du retour du sénateur Boulos enflamme le débat entre les juristes qui rivalisent d’arguments pour justifier leur position face à la décision du sénat. Samuel Madistin et Osner Fevry, juristes et leaders politiques, ont exprimé des points de vue différents lors du débat sur la double nationalité à la rubrique " Invité du jour" de radio Métropole.
Osner Fevry salue la résolution du sénat qui selon lui constate que M. Boulos n’a jamais été un sénateur ni même un candidat. " Le sénat a investigué et a constaté que plusieurs entités de l’état ont été trompées par les fausses déclarations de M. Boulos", argue Maitre Fevry soulignant qu’il y a eu usurpation de titre.
Osner Fevry fait remarquer que M. Boulos a été exclu du grand corps après le rapport de la commission. " Je regrette que les medias n’ont pas tenu compte du rapport de la commission spéciale qui a prouvé que Ultimo Compère et Rudolph Boulos n’ont jamais été sénateur", ajoute t-il.
De son coté, Samuel Madistin indique que le sénat n’a pas compétence pour prononcer l’exclusion définitive ou radiation interdite par la constitution. " Le sénat est en train de se lancer sur une pente dangereuse en s’octroyant des pouvoirs que la constitution ne lui donne pas ", dit-il faisant valoir que le parlement dispose déjà d’énormes pouvoirs.
Selon M. Madistin seul le Conseil Electoral à travers une procédure spéciale pourrait invalider une élection. " Il n’y existe pas de texte de loi sur la procédure pour accepter la démission d’un élu ", assure Samuel Madistin qui rappelle que l’assemblée des sénateurs peut uniquement valider les pouvoirs d’un élu.
Tout en soulignant que la sanction d’exclusion doit être prévue par la loi, M. maître Madistin signale que la majorité des 2/3 est requise pour une sanction disciplinaire. " Le rapport de la commission sur la nationalité a été rejeté par le sénat puisque 17 sénateurs l’ont approuvé", déclare t-il rappelant que les 2/3 représente 20 sénateurs.
Samuel Madistin soutient que l’affaire Boulos s’inscrit dans le cadre d’un contentieux d’inéligibilité, et précise que Rudolph Boulos a regagné son siège en envoyant une lettre au président du sénat.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=13611
-------------------*
Notre commentaire:
Ce n’est surement pas en écoutant les discours ou les opinions des juristes que le commun des mortels va se faire une idée sur « l’affaire Boulos ». La hideuse cacophonie qui nous torture les tympans ne font que nous rappeler qu’une fois de plus cette histoire sera traitée comme d’habitude à la sauce haïtienne natif-natale.
Les avocats en général ont acquis entre les lignes des gros bouquins cette faculté de tordre le cou aux mots pour leur faire dire le contraire à ce qui est universellement accepté par les non-juristes. Sinon, ils sont les seuls habilités à descendre au fond du puits en quête de cette vérité qui fuit et se cache dans les profondeurs obscures de cette réalité que nous avons peur de dévoiler.
De loin, nous observons et nous constatons que d’un sujet d’une extrême importance nous allons vivre la logique de la double nationalité comme un de ses scandales qui arrivent en bousculant un autre déjà installé et qui à son tour se verra remplacé illico presto par un prochain scandale.
Les prises de position et surtout les attitudes du principal intéressé ne semblent pas – à notre humble avis - s’incliner vers cette logique. Monsieur Boulos avait cette opportunité de mener la lutte en faveur d’un contingents d’haïtiens qui réclament quelque chose qui leur est du aujourd’hui en toute légitimité. Les explications et les justifications bateaux comme lynchage politique, tentative d’assassinat, l’avis des « bases » sont autant de contexte qui frise le ridicule même si un soupçon de vrai accompagnait ces tournures de la situation.
Parmi tous les blablas et les jèjè des juristes, l’insinuation de l’historien George Michel semble être une voie exploitable par le Sénateur Boulos.
Pour arriver à toucher correctement le fond du problème il faudra de la cohérence et de la cohésion dans les idées et dans les actions.

La Guadeloupe vibre pour Haïti

José Pliya, auteur franco-béninois, a créé une version scénique d'«Amour, Colère et Folie», roman culte de l'Haïtienne Marie Vieux-Chauvet. Un formidable moment de théâtre
Les persiennes sont tirées. Dehors, il fait très chaud, la rue gronde. Dedans, Claire, une vieille fille, belle encore, brûle de sensualité, d'amour pour son beau-frère, de rage contre son sort de fille «mal sortie», noire, alors que ses soeurs sont blanches et aimées. Incroyable et haute figure que cette Claire par-delà la morale, enfantée par une romancière haïtienne morte en exil à New York en 1973 : Marie Vieux-Chauvet. Elle avait 52 ans. Son roman, «Amour, Colère et Folie», publié par Gallimard en 1968, fut interdit sous Duvalier et jamais distribué. Il plonge le fer dans une fournaise où bouillonnent frustrations sexuelles, sociales, raciales et politiques, sur fond de violences, de meurtres et de viols.C'est en Guadeloupe, pas très loin d'Haïti, qu'une partie de ce roman, «Amour», a été pour la première fois portée à la scène : le choc n'est pas moindre qu'à la lecture. Une comédienne haïtienne flamboyante de dureté et de vie, Magali Comeau-Denis - voix et présence compactes, intenses -, hante le monologue tourbillonnant de Claire tandis que tressautent parfois de vieilles bandes d'actualités et que rôde un danseur délicat (Cyril Viallon). L'adaptation est signée de José Pliya, auteur franco-béninois du «Complexe de Thénardier» ou de «Nous étions assis sur le rivage du monde». Auteur heureux, joué et traduit, Pliya est à l'origine de la naissance scénique de ce roman de Marie Vieux-Chauvet réédité en 2005. Quand il le découvre, José Pliya le dévore en deux jours. Il décide d'en faire son projet d'écrivain-directeur de l'Artchipel, la Scène nationale de la Guadeloupe, sise à Basse-Terre, qu'il dirige depuis trois ans. Il taille, élague dans le roman, avec l'art d'un jardinier amoureux, pour en faire surgir, avec sa patte de poète, trois monologues de femme.
Il imagine aussi - et cette fois c'est le directeur qui parle en lui - de produire une trilogie, sur trois ans, avec trois metteurs en scène différents : Vincent Goethals, qui vient de signer «Amour», sera suivi de François Rancillac pour «Colère» et, pour «Folie», du Martiniquais José Exelis, qui créa l'an passé «Comme deux frères», la première pièce de la romancière Maryse Condé. Encore une initiative de l'Artchipel, qui multiplie ateliers, résidences, lectures, prix pour soutenir le renouveau des écritures caribéennes et les jeunes talents - acteurs, auteurs et musiciens. Et ce malgré un handicap de départ : sa subvention (Etat, conseil général et conseil régional) est inférieure d'environ 20% à celle de ses homologues métropolitains. Sans compter une lourde charge, celle du fret aérien !Ce cocktail détonant - un roman haïtien adapté par un auteur franco-béninois, mis en scène par un «métropolitain» et joué par une star haïtienne - a évidemment fait grincer les dents chez les défenseurs de l'identité guadeloupéenne. Mais précisément, ce beau projet évite le tête-à-tête exclusif qui entache trop souvent les rapports artistiques entre la métropole et les Antilles.
José Pliya croit - et qui lui donnerait tort ? - que la meilleure réponse au repli identitaire est celle de l'aventure commune des poètes, des artistes. Et aussi d'une audience reconquise à force d'ouverture à l'autre, ainsi lors de ces soirs où de jeunes tagueurs expriment en direct sur de larges toiles la vision que leur a inspiré le spectacle en cours. Le public, lui, peut discuter et dîner en plein air sur le parvis de l'Artchipel, qui surplombe la mer ouverte sur d'autres rives. Celles de Martinique, de Guyane, de Cuba, d'Haïti, et un peu plus loin des Etats-Unis (le directeur de l'Ohio Théâtre a fait le voyage pour «Amour») ou du Canada.
Au sortir d'une rencontre avec des lycéens guadeloupéens, Magali Comeau, elle, songe, comme pour elle-même : «Ces enfants ont bien de la chance.» Plus tard, elle dira : «J'aimerais jouer «Amour» en Haïti. Ce peuple, si pauvre, meurtri, a conservé avec ses artistes des liens tellement forts !» Celle qui fut l'épouse d'Hervé Denis, grande figure théâtrale, politique et ami de Jean-Marie Serreau, celle qui fut, aussi, ministre de la Culture d'Haïti entre 2004 et 2006 puis fondatrice du groupe Non ! contre le second gouvernement Aristide songera encore, se souvenant des nuits de feu et de sang où elle a «tutoyé» la mort : «Je n'ai jamais voulu quitter Haïti.»La voici à Paris, avec «Amour». Une création qui honore le théâtre français tel qu'on l'aime : pas frileux. A voir : «Amour», d'après Marie Vieux-Chauvet, adaptation José Pliya, mise en scène Vincent Goethals, Tarmac de la Villette, du 1er au 19 avril. 01-40-03-93-95.
A lire : «Amour, Colère et Folie», de Marie Vieux-Chauvet (Zellige), et l'adaptation théâtrale de José de José Pliya (Quatre Vents / L'Avant-Scène théâtre).
Odile Quirot

(Extrait de Le Nouvel Observateur semaine du jeudi 27 mars 2008)
http://www.lenouvelliste.com/article.php?PubID=1&ArticleID=55913&PubDate=2008-03-27

Culture : Journée de sensibilisation sur Haïti au Canada

Mercredi 26 mars 2008
P-au-P, 26 Mars 08 [AlterPresse] --- Une foire d’exposition ayant pour thème « Haïti : Nos racines, nos solidarités » sera organisée à Montréal le samedi 29 mars 2008, date marquant le 21e anniversaire de l’adoption de la Constitution de 1987, apprend AlterPresse.
Il s’agit d’une activité d’éducation et de sensibilisation du public sur les problèmes auxquels est confrontée la république d’Haïti, selon les organisateurs.
L’Association québécoise des organismes de coopération internationale (Aqoci) et le Regroupement des organismes canado-haïtiens pour le développement (Rocahd) sont les principaux initiateurs de ce programme qui se tiendra au Tohu, un point de ralliement civique au cœur de Montréal.
Le spectacle Starmania, une version revisitée par la troupe « Haïti en scène » se déroule au même endroit. Michaëlle Jean, gouverneure générale du Canada, assistera à ce spectacle dont elle est la présidente d’honneur, aux côtés du parolier Luc Plamondon et du chanteur Luck Mervil. [do gp apr 26/03/2008 13 :10]
http://www.alterpresse.org/spip.php?article7067